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L'antre des Fées

22 octobre 2017

Est-ce vraiment terminé?

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Bonjour, 

Aujourd'hui, je vous parle de ce livre que je viens de terminer: 

Cora, seize ans, est esclave sur une plantation de coton dans la Géorgie d'avant la guerre de Sécession. Abandonnée par sa mère lorsqu'elle était enfant, elle survit tant bien que mal à la violence de sa condition. Lorsque Caesar, un esclave récemment arrivé de Virginie, lui propose de s'enfuir, elle accepte et tente, au péril de sa vie, de gagner avec lui les Etats libres du Nord. De la Caroline du Sud à l'Indiana en passant par le Tennessee, Cora va vivre une incroyable odyssée. Traquée comme une bête par un impitoyable chasseur d'esclaves qui l'oblige à fuir, sans cesse, le " misérable coeur palpitant " des villes, elle fera tout pour conquérir sa liberté. L'une des prouesses de Colson Whitehead est de matérialiser l'" Underground Railroad ", le célèbre réseau clandestin d'aide aux esclaves en fuite qui devient ici une véritable voie ferrée souterraine, pour explorer, avec une originalité et une maîtrise époustouflantes, les fondements et la mécanique du racisme. A la fois récit d'un combat poignant et réflexion saisissante sur la lecture de l'Histoire, ce roman, couronné par le prix Pulitzer, est une oeuvre politique aujourd'hui plus que jamais nécessaire.

J'avoue qu'en terminant ce livre, je suis un peu mitigée. 

Mitigée car j'ai beaucoup appris en le lisant sur la misère humaine lors de l'esclavage, sur le sort de ces hommes et femmes qui appartenaient à un maitre et ne pouvaient décider de leurs vies ni de celle de leur descendance. 

Appris sur le chemin de fer clandestin, sur ces hommes et ces femmes qui, souvent au péril de leur vie, aidaient les esclaves en fuite à travers toute l'Amérique.

Appris sur ce Nord qui se voulait tellement ouvert mais qui dans certains cas était pire que le Sud car il n'acceptait plus aucun homme de couleur (et ainsi n'avait plus de problèmes)

Réfléchi à la vie des ces personnes de couleurs dans les années plus récentes, où malgré leur liberté, ils ne pouvaient vivre comme tout un chacun. (cf par exemple le livre "la couleur des sentiments). Réfléchi à ce qui se passait encore aujourd'hui dans de nombreux pays où la différence n'est pas acceptée que l'on appartienne au pays en question et que l'on n'accepte pas l'étranger ou même que l'on soit étranger et que l'on n'accepte pas les idées du pays qui nous reçoit.

En clair, vous l'avez compris, ce livre m'a interpellé.

Mais mitigée également car il était long à lire, l'action semblait s'essoufler et j'ai du relire de nombreux passages tant le style pouvait être embrouillé et difficile à suivre. J'ai souvent pensé à le poser et à m'arrêter en me disant que si je voulais en apprendre sur le chemin de fer clandestin aux Etats Unis je pouvais regarder dans un dictionnaire ou une encyclopédie.

Dans tous les cas, je vous laisse juge.

Sur ce, bon dimanche et à bientôt!

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19 octobre 2017

Et si c'était le votre?

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Bonsoir, 

Aujourd'hui je viens vous parler de ceci:

Depuis vingt ans, Andrew Barber est procureur adjoint de l'Etat du Massachusetts. Admiré par ses pairs, respecté de la communauté, il jouit d'une vie de famille heureuse avec sa femme Laurie et leur fils Jacob. Quand un crime atroce secoue la quiétude de sa petite ville, son fils de 14 ans est accusé du meurtre. Andrew ne peut croire à la culpabilité de Jacob et va tout mettre en oeuvre pour prouver son innocence. Mais certaines révélations, surgies du passé, sèment le doute et menacent de détruire l'existence même d'Andrew. Acculé, il est confronté à un insoluble dilemme : loyauté ou vérité ?

Le début de ce livre était très prometteur. Un meurtre dans une petite ville très comme il faut et puis un procureur qui apprend que son fils pourrait être le coupable? Que faire, choisir d'aider son fils en cachant des objets qui pourraient devenir des preuves ou laisser faire la justice. 

Et puis arrivé aux environs de 150 pages sur les 440 que comptent le livre j'ai commencé à trouver le "temps" long, à m'ennuyer à attendre les informations qui ne viennent pas, des choses qui tournent en rond. 

Bref, j'ai voulu savoir la fin et je me suis mis à lire en diagonale mais même le dénouement m'a quelque peu laissé sur ma faim. Il est donc vite temps d'attaquer autre chose. 

Sur ce, je vous souhaite une bonne soirée, et à bientôt. 

 

10 octobre 2017

Loin, très loin...

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Bonjour, 

Lorsque j'étais allée en vacances à la pointe de la Bretagne et que nous étions allés visiter la pointe du Raz, nous avions été amusés par un panneau de station service. Il annonçait la dernière station avant l'Amérique.

En effet, après la pointe du Raz, il n'y a plus rien que l'océan jusqu'au nouveau monde.

Et bien aujourd'hui, le livre dont je vais vous parler va vous emmener au loin également, juste avant que l'océan ne devienne l'horizon:  en Cornouailles.

Cornouailles, une ferme isolée au sommet d une falaise. Battus par les vents de la lande et les embruns, ses murs abritent depuis trois générations une famille... et ses secrets.1939. Will et Alice trouvent refuge auprès de Maggie, la fille du fermier. Ils vivent une enfance protégée des ravages de la guerre. Jusqu à cet été 1943 qui bouleverse leur destin. Été 2014. La jeune Lucy, trompée par son mari, rejoint la ferme de sa grand-mère Maggie. Mais rien ne l a préparée à ce qu elle y découvrira. Deux étés, séparés par un drame inavouable. Peut-on tout réparer soixante-dix ans plus tard ?
Après le succès de La Meilleure d entre nous, Sarah Vaughan revient avec un roman vibrant.

Destinées prises dans les tourments de la Seconde Guerre mondiale, enfant disparu, paysages envoûtants de la Cornouailles, La Ferme du bout du monde a tout pour séduire les lecteurs de L Île des oubliés, d Une vie entre deux océans et de La Mémoire des embruns.

J'ai beaucoup aimé ce livre et une fois commencé je n'ai plus réussi à le lâcher. 

On se sent emporté avec les personnages, on se voit marcher au bord des falaises, nager avec eux dans l'eau tumultueuse ou calme de cette région.

L'histoire se découpe en chapitres se passant soit en 2014 soit en 1944 avec un fil rouge et toujours la guerre en fond pour nous rappeler que quelque soit l'endroit où l'on se trouvait à l'époque, elle nous rattrapait toujours. Mais en même temps une belle histoire d'amour qui traverse les décennies.

Bref, un bon moment (à partager si le coeur vous en dit).

Sur ce, passez une belle journée, et à bientôt!

 

 

9 octobre 2017

Après hier, revenons à du plus léger.

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Bonjour, 

Oui, comme le titre l'indique, après la lecture d'hier, je suis revenue à des lectures plus "faciles", plus triviales mais qui font du bien dans le monde actuel.

Et voilà ce que j'ai terminé en une après midi (240 pages, en poche, vraiment pas long)

En voiture, Simone !Pour une comédie familiale irrésistible, il vous faut : un père, despotique et égocentrique, Jacques. Une mère, en rébellion après quarante ans de mariage, Martine. Leurs fils, Matthieu, éternel adolescent mais bientôt papa de trois enfants ; Nicolas, chef cuisinier le jour et castrateur tout le temps ; Alexandre, rêveur mou du genou. Et... trois belles-filles délicieusement insupportables ! Stéphanie, mère poule angoissée ; Laura, végétarienne angoissante ; Jeanne, nouvelle pièce rapportée, féministe et déboussolée, dont l'arrivée va déstabiliser l'équilibre de la tribu.
Mettez tout le monde dans une grande maison en Bretagne. Ajoutez-y Antoinette, une grand-mère d'une sagesse à faire pâlir le dalaï-lama, et un chien qui s’incruste. Mélangez, laissez mijoter... et savourez !

Ce livre a été publié aux éditions Michel Lafon sous le titre Nos adorables belles-filles

J'avoue, j'ai beaucoup aimé ce livre. Il fait ressortir tous les petits travers de la vie quotidienne et on est obligé de se retrouver dans certains personnages. Qui ne s'est jamais pris la tête avec son conjoint, avec ses parents, ses beaux parents. Qui n'a jamais surprotégé ses enfants ou ralé en fin de grossesse. Qui n'en a jamais eu marre des visites de la famille ou même amis parce que disons le, ils sont gentils mais on est bien contents quand ils passent le seuil de porte en sens inverse. Qui n'a jamais tempeté après avoir préparé un délicieux repas et qu'en arrivant les gens vous disent "oh c'est gentil mais ça ne je le mange pas!!" AAAAAAHHHHHHHHHHH!!!!!!!

Bon, les vacances en famille ou belle famille, très peu pour moi, soyons honnêtes. Mais il en faut pour tous les goûts et au moins, j'ai passé un bon moment lecture.

Alors si le monde vous parait morose en ce moment, prenez un bol d'air pur (breton qui plus est) avec cet ouvrage. 

Sur ce, je vous quitte, à bientôt. 

8 octobre 2017

Toute est une question de confiance...

2Bonjour, 

Aujourd'hui ce n'est pas de roman que je viens vous parler mais d'un livre plus pédagogique. (il faut bien qu'il y en ait de temps en temps, je suis enseignante tout de même ne l'oublions pas).

Et la semaine dernière j'ai lu ça:

La spécialité des enfants intelligents qui n'accèdent pas aux savoirs fondamentaux est d'inventer des moyens pour figer les processus de penser. C'est ainsi qu'ils vont échapper aux inquiétudes et aux frustrations que provoque en eux l'apprentissage. Tant que nous ne les aiderons pas à lutter d'abord contre ce mécanisme, même avec les remédiations pédagogiques les plus sophistiquées présentées par les meilleurs de nos maîtres, nous n'arriverons à rien. Parmi les pratiques pédagogiques à privilégier pour réduire les effets de l'empêchement de penser, le nourrissage culturel intensif et l'entraînement quotidien à parler sont à privilégier en urgence. ils sont la clef pour relancer le désir de savoir de nos enfants.

J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce livre qui malheureusement ne fait que conforter certaines idées que j'avais déjà, à savoir qu'un manque de confiance en soi et la peur de mal faire peut empêcher un enfant d'apprendre et de s'épanouir à l'école.

C'est pour cela que j'ai toujours cet affichage dans ma classe: ici on a le droit de se tromper, c'est le 1er affichage que je montre à mes élèves en début d'année. J'ai toujours beaucoup de difficulté à faire comprendre aux enfants que se tromper ce n'est pas grave, cela permet aussi d'accéder à certaines connaissances. D'ailleurs même la maitresse se trompe quelque fois (enfin pas trop souvent quand même...)

Quand ils vous accordent leur confiance, les enfants peuvent s'ouvrir et faire de grandes et belles choses. On devrait toujours penser à leur épanouissement et cela vaut aussi pour la vie de tous les jours avec nos enfants personnels. 

Les laisser parler, s'exprimer, sur leurs doutes, leurs craintes, leurs attentes et leurs bonheurs. D'ailleurs dans ma classe où j'ai beaucoup d'élèves de parents d'origine étrangères ou de primo arrivant, je passe le plus souvent possible par le dialogue dans les matières comme l'histoire géo, sciences. Pour comprendre et apprendre, dans ces matières en tout cas, point n'est besoin de remplir des questionnaires, des fiches... Comme je dis souvent, tous les enfants aiment écouter des histoires, ils devraient donc tous aimer l'histoire où on raconte l'Histoire.

Enfin tout cela pour dire qu'il faut écouter et ouvrir les enfants au monde qui les entoure. Si on le faisait plus, le monde tournerait peut-être mieux.

Sur ce, je vous quitte, bonne fin de week end et à bientôt! 

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1 octobre 2017

La vie n'est pas toujours un long fleuve tranquille

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Bonjour, 

Aujourd'hui encore je viens vous parler de lecture. (Je vous avais prévenu, la broderie, je n'ai plus le temps...)

Et hier, j'ai fini ce livre

De l'Irlande des années 1920 au Maine des années 2000, en passant par les plaines du Midwest meurtries par la Grande Dépression, un roman ample, lumineux, où s'entremêlent les voix de deux orphelines pour peindre un épisode méconnu de l'histoire américaine. 
Entre 1854 et 1929, des trains sillonnaient les plaines du Midwest avec à leur bord des centaines d'orphelins. Au bout du voyage, la chance pour quelques-uns d'être accueillis dans une famille aimante, mais pour beaucoup d'autres une vie de labeur, ou de servitude. 
Vivian Daly n'avait que neuf ans lorsqu'on l'a mise dans un de ces trains. Elle vit aujourd'hui ses vieux jours dans une bourgade tranquille du Maine, son lourd passé relégué dans de grandes malles au grenier. 
Jusqu'à l'arrivée de Mollie, dix-sept ans, sommée par le juge de nettoyer le grenier de Mme Daly, en guise de travaux d'intérêt général. Et contre toute attente, entre l'ado rebelle et la vieille dame se noue une amitié improbable. C'est qu'au fond, ces deux-là ont beaucoup plus en commun qu'il n'y paraît, à commencer par une enfance dévastée...

Pour ceux qui auraient regardé Dr Quinn dans leur jeunesse, il y avait eu un épisode sur ces trains d'orphelins qui sillonnaient le pays. A l'époque, elle avait voulu en adopter 7 de mémoire avec le révérend du village. 

Mais il s'avère que lorsque j'avais vu le feuilleton, je ne m'étais pas imaginé combien cette histoire avait de fond véridique et combien d'enfants avaient pu en pâtir ou en profiter selon le choix de leur famille d'accueil.

L'histoire choisie ici raconte plutôt l'aventure douloureuse de Vivian Daly. Et durant tout le roman on passe de 1929-1930 à 2011 avec la vie de deux âmes que la vie n'a pas épargnée et qui se découvrent semblables à travers l'histoire de la plus vieille des deux.

Bref, un roman à lire pour ceux qui souhaitent revivre des moments émouvants et, je l'avoue, un dénouement heureux! 

Certains pourront dire que ce roman est un peu simpliste et se veut un peu "larmoyant dans les chaumières" mais bon, étant une inconditionnelle des feuilletons style Dr Quinn ou La petite maison dans la prairie, ce n'est pas grave, j'assume.

Et pour ceux que la lecture rebute, en cherchant l'image du livre, j'ai vu qu'une histoire du même type avait été mise en BD. Il y en a donc pour tous les goûts. 

Le Train des orphelins – cycle 1, T1 : Jim (0), bd chez Bamboo de Charlot, Fourquemin, Smulkowski

Sur ce, je vous quitte, passez un bonne fin de week end et à bientôt!

24 septembre 2017

J'adore cet endroit...

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Bonjour, 

Vous allez me demander pourquoi je commence mon post par une photo de moi prise il y a...oh déjà plus d'années que je n'en ai sur mes 2 mains? 

Et bien tout simplement parce que la Grèce (au cas où vous ne connaitriez pas, je suis devant le parthénon d'Athènes) est un pays que j'ai adoré visiter. Depuis toute petite, je me passionne pour la mythologie grecque; je connais l'histoire des dieux et déesses sur le bout des doigts. 

Alors après m'y être rendue toute jeunette, j'y suis retournée avec zom au début de notre rencontre. Cela a été un plaisir de lui faire découvrir tous ces monuments et toute cette civilisation. Le rêve serait d'ailleurs d'y retourner avec les enfants...

Enfin toujours est-il que j'avais déjà lu plusieurs livres de cette auteur, alors quand le dernier est arrivé à la médiathèque, je me suis jetée dessus

Magique : le nouveau roman de Victoria Hislop nous entraîne en Grèce sur les traces d'un amour perdu. Richement illustré, Cartes postales de Grèce fait chatoyer les couleurs de la Méditerranée.Dans sa boîte aux lettres, Ellie trouve, semaine après semaine, des cartes postales signées d'une simple initiale : A. Ces cartes ne lui sont pourtant pas destinées. Pourquoi lui parviennent-elles ? Qui est l'expéditeur ? Mystère. Portant l'éclat du ciel grec et l'eau cristalline de la mer, ces missives sortent la jeune femme de sa morosité quotidienne. Un jour, elles cessent cependant d'arriver. Ellie se sent délaissée, privée de cette bouffée d'oxygène qui la faisait rêver et voyager. Elle prend alors une décision : découvrir ce pays par elle-même. Le matin de son départ, Ellie reçoit un carnet par la poste. L'odyssée d'un homme, le fameux A, y est racontée. Celui-ci observe avec tendresse et générosité les Grecs, leurs coutumes, et ce qui fait le sel de leur quotidien. Derrière ses observations et ses savoureuses anecdotes se dessine le portrait d'un homme blessé. Pourrait-il encore croire en l'amour ?

J'avoue que j'ai adoré ce livre. Je ne parlerai pas trop de romans car c'est plutôt une succession de nouvelles qui se passent en Grèce, que ce soit sur le continent ou dans les iles. 

Chacune retrace un moment de la vie des grecs, une anecdote et nous plonge, aussi bien dans les récits du passé que dans les actualités du pays de Zeus ou Poséidon. 

Des photos, ou plutôt cartes postales, nous permettent de nous plonger encore plus dans l'intrigue et pour ma part, j'ai pu revivre des moments que j'avais vécu, repenser à des endroits visités.

Bref, pour ceux qui aiment la Grèce, pour ceux qui l'ont déjà vu ou qui souhaiteraient y aller un jour, lisez ce livre et vous verrez, la fin nous réserve une belle pensée sur la philosophie de la vie.

Sur ce, je vous quitte, passez une belle soirée, et à bientôt!

21 septembre 2017

Pour les plus petits mais aussi pour les plus grands...

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Bonjour, aujourd'hui, je viens vous parler d'un livre qui peut être lu aussi bien par les grands que par les enfants à qui il est d'ailleurs destiné.

Dans ma classe, chaque jour, je vois des enfants qui ressentent des émotions intenses sans savoir souvent mettre un nom sur ces émotions. Ils se pensent en colère alors qu'ils sont frustrés par exemple. Il en ressort souvent nombre de "drames", de pleurs, de pris à parti d'autrui car ils ne savent pas mettre de mots sur ce qu'ils vivent.

Alors quand j'ai vu ce livre à la médiathèque, j'ai pensé à eux. Et puis en le feuilletant à la maison, je me suis dit que j'allais aussi le faire lire à mes ados. Quant à moi, il m'a aussi interpellé car on ne pense pas souvent à toutes les émotions qui sont à notre disposition. 

Qui plus est le graphique est magnifique.

Je vous le montre? 

Du début à la fin on passe par 42 émotions et chacune nous entraine vers une autre

Et chaque émotion est mise en image

Bref une si belle découverte que je me pose la question de me l'offrir afin de le laisser à disposition dans ma classe.

Et vous, quelle est votre émotion aujourd'hui? 

Sur ce, passez une belle fin de journée et à bientôt

20 septembre 2017

Vous faites des selfies?

thBonjour, 

Aujourd'hui un nouveau polar à vous mettre sous la dent, polar dont j'apprécie beaucoup l'auteur. Je tente donc de lire chaque nouveau livre qu'il écrit.

Elles touchent les aides sociales et ne rêvent que d'une chose : devenir des stars de reality-show. Sans imaginer un instant qu'elles sont la cible d'une personne gravement déséquilibrée dont le but est de les éliminer une par une. L'inimitable trio formé par le cynique inspecteur Carl Morck et ses fidèles assistants Assad et Rose doit réagir vite s'il ne veut pas voir le Département V, accusé de ne pas être assez rentable, mettre la clé sous la porte. Mais Rose, plus que jamais indispensable, sombre dans la folie, assaillie par les fantômes de son passé...

Ce que j'avais apprécié dans les autres livres parlant du département V c'était le suspens qui nous tenait en haleine jusqu'au bout. 

Alors, au début, je n'ai pas compris: on nous indiquait dès le début qui allait tuer qui. Où était l'intérêt.

Et puis au milieu de cette histoire de meurtres de jeunes filles viennent se greffer d'autres crimes et d'autres histoires dont celle de Rose qui travaille au département V (on va notamment apprendre pourquoi elle s'amuse à prendre la personnalité de ses soeurs et quel démon elle cache pour en arriver à cette extrémité).

Au final, 5 histoires de meurtres entremelés les uns dans les autres jusqu'à un dénouement final qui nous permet au département V de tout résoudre encore une fois.

Et comme d'habitude, un livre qui nous tient en haleine de bout en bout.

Bref, à lire en urgence et si vous ne connaissez pas, commencez par les autres livres du départemtent V, il serait dommage de ne pas prendre les personnages au début.

Sur ce, bonne fin de journée, et à bientôt!

19 septembre 2017

J'aime la Bretagne et la Vendée

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Bonjour, 

Comme l'indique mon titre, j'ai beau vivre dans l'Est de la France, j'adore la Bretagne et la Vendée (où je suis d'ailleurs partie cet été). Les couleurs de l'eau, le temps qui changent en permanence, les odeurs et puis toutes les villes à voir, la gastronomie. Bref, je me pose souvent la question de finir ma vie sur la côte... 

J'aime également les livres qui parle du terroir français en général, les anciennes générations, les us et coutumes d'autrefois, le bonheur simple. 

J'avais donc emprunté ce livre à la médiathèque espérant y conjuguer Bretagne et hsitoire de terroir: 

Korrig habite une ferme isolée au cœur de la forêt du Faouët, dans la Cornouaille morbihannaise pleine de croyances et de traditions. Sa mère, lavandière, l'a élevée seule, dans l'acceptation de sa différence - sa petite taille -, et l'a initiée au repassage des coiffes. Depuis la mort de cette dernière, mais surtout depuis sa rencontre traumatisante, un jour, avec quatre chasseurs qui l'ont violentée, elle se retranche dans une vie solitaire, se rendant quand nécessaire au village, au lavoir, à l'église. Ses journées sont denses : le travail de la dentelle, l'entretien de la maison, l'éducation de Justin... Mais hantées surtout par l'angoisse permanente d'être un jour démasquée. Car Korrig, née avec une force de caractère et un courage hors du commun, préserve loin de tous son incroyable secret...

Le début du livre m'a beaucoup plus, l'histoire des lavandières et de leur dur labeur, les coiffes qu'il fallait amidonner pour les cérémonies et les mariages...

La suite m'a paru un peu fantasmagorique et totalement impossible. Alors je ne vais pas vous dévoiler le secret de Korrig, cela vous enlèverait toute envie de lire ce livre mais pour un Terre de France, j'en attendais mieux. J'espère que les prochains que je lirai seront plus véridiques.

Sur ce, passez une bonne fin de journée et à bientôt!

 

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